Match nul 1 partout

Jouer Solétanche après les fortes pluies de ces jours derniers, il fallait oser ! Mais la VDQS n'est pas un club comme les autres. Et même si le rafiot a quelques fois tangué, jamais nous n'avons pris l'eau...

Le score final, 1 essai de chaque côté (Christophe Dayre), peut être considéré comme un bon résultat car l'opposition avait de l'épaisseur. Pas en quantité (nous leur avons prêté des joueurs), mais en qualité : jeunesse, dynamisme, puissance au contact.

Manu a bien râler sur quelques ballons tombés qui auraient pu nous donné la victoire, mais au final, le score est logique. Merci à Charles Cazamajor, qui s'est privé du plaisir de jouer hier soir, pour nous arbitrer et de belle façon, face à des adversaires très corrects (bien que quelquefois au-delà de la ligne de hors jeu).

Le petit point noir de la soirée, ce sont les blessés : Marco (cheville), Freddy (genou) et Guillaume (épaule). Souhaitons les revoir vite.

Comme nous ne sommes décidemment pas un club ordinaire, nous avons vu (sûrement une première au monde !) un striker traversé le terrain... tout habillé ! Papy a coupé le terrain à pleine vitesse, au milieu des joueurs, puis a avoué aux nombreux spectateurs : "J'ai pas voulu le faire à poil, car avec le froid qu'il fait, je n'aurai pas été à mon avantage...".

Du monde le long de la main courante (Saïd, Serge Dubrana, Philippe Guillet, Yann, Jeff Geoffroy), notamment une forte colonie féminine. Ceci expliquant peut-être le geste de Papy !

Ensuite, dans une moitié de club house, nous avons pris les bières de l'amitié avec nos sympathiques adversaires, avant de nous attabler (près d'une quarantaine de personnes quand même) pour le repas des Blanc.

Les discussions ont tourné autour des épopées napoléoniennes de la VDQS à travers l'Europe (Edimbourg, Rome, Cardiff, la Bretagne) pour le plaisir de tous les convives. Malgré l'absence des ténors habituels, la soirée s'est poursuivie en chansons avant le départ tardif de nos invités. Encore quelques bières pour les traînards (Eric Lautrec très en forme) et puis il était temps d'éteindre les lumières.