Allez ! Quelques mots sur l'entraînement d'hier matin. Moins d'une vingtaine de VDQS présents, malgré un temps plutôt agréable. Michel Dumortier était là pour une présence toujours appréciée Entre ses bons mots, son analyse du match de la France et ses conseils avisés sur le terrain, il a réussi à nous dire que Walter Spanghero avait la même longueur de jambes qu'Adriana Karembeu ! Autant les jambes d'Adriana, on s'en ferait bien un cache-col, autant celles de Oualtère...
L'ami Chauvin a fait une apparition éclair, mais il est vrai que le jeune marié VDQS a sûrement autre chose à faire.
Manu nous a proposé des exercices intéressants à partir des avants, précédant un jeu libre où nous avons pu voir combien Pierre Chareyron nous a manqué à Maule. Mais où, également, on a pu voir qu'on jouait trop vite certaines situations, nous empêchant de conclure, mal récurrent ces derniers matchs.
Pour la première fois, notre échauffement a été suivi par un brave pépère, venu promener son chien aux bords de Seine. Quelques paroles sont échangées et le brave quidam nous avoue que son chien est un vrai pilier (on ne saura sans doute jamais pourquoi). Et voilà que Christophe Corlay, en pleins étirements, lance : "Chez nous aussi, les piliers sont souvent à quatre pattes et avec une grande gueule...".
Silence de plomb, regard noir foncé de Papykachu et promesse de faire du corlay'd beef de notre barde breton. Ca n'a pas manqué. Notre joueur de cornemuse a fini boîtant bas (talon), en sang (genou) et bosselé (oeuf de Pâques). Faut pas le chercher le Papykachu ! D'ailleurs à ce sujet, depuis qu'il porte le fez nuit et jour, il se fait appeler Sidi Brahim Papykachu.
Pour finir, comme d'hab., bières et discussions. Ce qui revient souvent, c'est le plaisir d'être ensemble, chez les VDQS. Alors, en cette date anniversaire de la chute du Mur, on aimerait que les VieuxDQS ne deviennent pas des VOPO (Vieux Oublieux d'un Passé Ovalien) et nous honorent de leur présence sur le terrain (expérience et conseils) et autour de la table (joie de vivre). A bon entendeur...