Victoire 6 à 2

La Veuve, -fouteur de bordel professionnel-, a encore fait des siennes. Armé d'un tampon encreur, il a tamponné de nombreuses mains VDQS, hier au soir. Ce matin, j'imagine qu'un grand nombre de nos chers VDQS ont toutes les peines du monde à expliquer à leurs conjointes qu'ils n'étaient pas hier soir au Macumba, mais bien au stade du Parc. Un grand merci donc, à La Veuve...

 

Sarkozy avait raison, il allait mettre un peu d'ordre chez ces fumiers de banquiers et virer les brebis galeuses. OK, c'est louable, mais de ce fait, notre adversaire du soir s'est présenté en sous-effectif !

 

La température et la pelouse étaient idéales. Y avait du beau monde, 30, côté VDQS (pas de liste aujourd'hui, certains étaient peut-être vraiment au Macumba hier soir...), 4 chez l'adversaire (Schuler, Gillet, Moc et Barbe), 3 sur la touche (Guillet, Chenevier et Papy) et Christian au sifflet. C'étaient également les débuts de nos recrues sous leurs nouvelles couleurs.

 

Le match ? La Veuve avait distillé son venin toute la semaine : « votre banquier vous pique du pognon, il se gave avec votre blé », les VDQS voulaient donc réussir un bon résultat pour le premier match de la saison. Victoire des nôtres 6 essais à 2 (Revert, Poujol, Dayre, Corlay et 2 « collectif », sauf erreur de personne), avec notamment une très bonne première période de la part des VDQS. Soutien présent, alternance avants/trois-quarts, physique au top (merci Manu), bref, du plaisir à la tonne. La seconde période a été plus moyenne, donc on n'en parlera pas. A noter la belle réplique BNP malgré le score.

 

A part ça, plein de choses :

 

-Manu était super concentré sur son rôle et il a orchestré les remplacements à merveille. Manu est un passionné, Arnault s'en est aperçu...

 

-Une histoire de fez : Pour la première remise de notre objet fétiche, le jury (la liste est secrète) a désigné à l'unanimité Jérôme Schuler. Le brave Jérôme a beau dire que c'est par plaisir qu'il joue sous le maillot vert, sachez qu'on a mené une petite enquête et, coïncidence, son compte est maintenant à la BNP ; son crédit immobilier a été renégocié et depuis, Monsieur Schuler habite dans un hôtel particulier dans l'Ouest parisien, au beau milieu d'une propriété de quelques hectares. Le plaisir de porter le maillot vert, bien sûr...

-Belle rigolade avec des histoires drôles sur les Peaux Rouges. Comme quoi, quand ce n'est pas Daniel Amand qui raconte...

 

-Des chansons, encore et toujours, avec le Président et PYM, dans une belle ambiance.

 

-Une nouvelle version de Jean-François de Nantes, toujours chantée par Ch.Corlay, mais avec, dans le rôle de la cornemuse, La Veuve !

 

-Pierre Beurton joue comme il chante : Il s'échauffe cinq minutes mais ne joue pas le match et à table, il chante la première phrase puis s'arrête. Pierre, passe la seconde...

 

La Pique m'a dit un truc, mais je ne m'en souviens pas. Désolé. Je donne la parole à La Pique.

C'est bizarre que Christophe BLANCHOT ne se souvienne pas de mon rajout au compte-rendu :

Prière de rajouter au journal officiel "Ils étaient sympa BNP malgré un petit talonneur en seconde mi-temps qui n'arrêtait pas d'écrouler les mêlées ouvertes".

-Le chapitre Alain Tiret : Notre Toulousain s'est mis en tenue mais Manu ne l'a pas fait rentrer en jeu. D'où colère du Alain, bien vite oublié dès les premières bières. Ceci dit Alain, c'était là l'occasion de te lancer dans ta chanson favorite « Si tu n'as jamais joué... ». La prochaine fois, nous aurons droit, foi du Toulousain, à une autre chanson de son répertoire : « La chasse à l'ours ». A voir.

 

-A propos du voyage à Cardiff, Alain Tiret, toujours lui, nous a parlé de l'ambiance dans le stade : (Faites le avec l'accent de Toulouse et ponctuez de « putaing, con ») « Les chants gallois de chez chants gallois, c'est vraiment des chants gallois ». Le mieux, c'est quand même d'aller à Cardiff pour vérifier.

 

-Philippe Curnillon va courir Paris-Versailles demain matin. L'entraînement prodigué par Manu susciterait-il des vocations ?

 

-La VDQS se professionnalise, nous avons désormais deux spécialistes de la diététique dans le staff. Hier soir, c'était Jacques aux fourneaux et on s'est régalé. Seul petit bémol, le vin du Gers était, comment dire, un peu rude. Ca tenait plus de la boisson d'hommes que du nectar des Dieux. On aurait presque pu démarrer une bagnole avec, c'est dire !

 

-Pour le titre, voir La Veuve.

 

Bonne semaine,