Victoire 5 à 1 C'est souvent la même rengaine lorsque nous nous déplaçons. Serons-nous assez ? Ce fût encore le cas hier soir, à l'heure de se retrouver au stade du Parc.
Miracle, nous étions déjà 11...même si Xabi avait apparement préféré la glace dans son verre plutôt que pour soigner son genou...
Et par un prompt renfort (et le GPS), nous nous retrouvâmes 22 en arrivant au port. Au port de Conflans, capitale de la batellerie comme chacun sait. Les copains étaient déjà sur place. Joyeuses retrouvailles puis rapide échauffement mené de mains de maître par Manu. 22 VDQS donc, prêts à en découdre, avec le soutien de Phi. Bresnu, de coach Cyrille et de Koxé, présents sur la touche. Vu du bord du terrain, cela ressemblait plutôt à l'affrontement des abeilles et des guêpes. Je m'explique. En effet, seule une bande bleue sur notre maillot différenciait les deux équipes. Une bande bleue et le talent ! Notre modestie dû-t-elle en souffrir, hier soir, les VDQS ont fourni une prestation de premier choix. A part un léger passage à vide en fin de première période, le reste du match a été bien contrôlé par nos couleurs. Des ballons propres devant, de bons choix effectués par la charnière et que dire de nos 3/4 ? Excellents. Des jambes, de belles envolées et des attaques de partout pour un bon résultat (victoire 5 essais à 1). Pour preuve, le dernier essai: récupération du ballon par les avants dans nos 22 mètres, 9-10, petite passe au pied par-dessus le premier rideau adverse, récupération de Christophe Bienaime et en voiture Simone ! Christophe partait pour un déboulé de près de 80 m, stoppé à quelques foulées de la ligne adverse. Mais le soutien était là et Phi.Curnillon terminait le boulot dans l'en-but adverse. Une action qui fît lever le stade... enfin au moins les 4 enfants de Mark Owen, présents dans l'unique tribune (A ce sujet Mark, 4 jeunes enfants encore dans la nature à près de 22 heures passées, ça fait pas sérieux. J'te préviens, la prochaine fois on appelle la DASS!). Bref, une belle victoire des VDQS, pas de blessé, un bon terrain, des adversaires sérieux (mais un peu limités dans le jeu).
S'ensuivit un bon accueil au bar, puis autour de la table, même si on regrette toujours dans ces cas-là que Gilles Blanc ne s'exporte pas...