Vieille tradition que l'AG d'une association,
Impossible donc de passer à côté chez les VDQS.
Et après quelques exercices sur le terrain,
Un discours de Christian, notre président, puis
Xabi ? Mais où est Xabi ?

Disparu avec la caisse ?
Encore quelques verres, puis nous passons à table.
Gilles Blanc, notre cuisinier dont
La silhouette est la meilleure des publicités, a
Installé quelques tables chargées de victuailles.
Nom de Dieu, on va pas encore maigrir ce soir,
Gueulaient quelques VDQS dont je tairai le nom.
Un premier passage pour se sustenter,
Ensuite un second pour le plaisir,
Suivi enfin d'un dernier pour les

Desserts.
Et c'est ainsi

Qu'à la fin du repas, on pousse
Un gros ouf de contentement. Rien d'
Anormal. On a bouffé comme des vaches !
La suite sera bavardages et rigolades.
Il était dit que sans chanson, c'était
T'impossible de se quitter.
Et nous avons eu droit à un récital de nos

Stars académiciens. Tout y est passé.
Un tour de chant complet, tout le paillardier.
PYM a chanté "mon oncle", quelle famille !
Et puis les classiques ont suivi.
Résumons la soirée : un peu de rugby,
Istoire de perdre quelques grammes
Et d'impressionner les filles sur la touche,
Un discours présidentiel, des finances artificielles.
Rigolades, repas et chansons.
Et pour finir, "la taule".

Ouais, pour la dernière de la saison, je me suis fait un petit plaisir. D'aucuns préfèreront peut-être dans le domaine des plaisirs solitaires la poterie, la Playstation, voire la branlette, moi, ce petit truc me plaît bien. Cela porte d'ailleurs un nom de former ainsi un mot avec toutes les premières lettres de chaque ligne, mais à l'heure qu'il est (02h37), je n'ai plus la lumière dans toutes les pièces...

Bref, tout ça pour dire qu'une fois de plus, ce fût une grande soirée VDQS. Passons rapidos sur l'épisode terrain, si ce n'est pour souligner la venue parmi nous d'un prochain VDQS : Mathieu Carbonell. Ensuite, AG puis bar. Du consistant avec le buffet de Gilles, une nouvelle fois parfait. Puis les chansons se sont invitées. Nous avons eu droit à un répertoire quasi complet. Les traditionnelles, d'autres moins chantées dans la saison (Le Vicaire, les bouchées à la Reine, Jean-Gilles) et puis quelques versions de talent comme le Cosaque par Guy Parisovitch ou un désopilant Père Abraham par Pierre Chareyron, aussi actif avec son bel organe que sur un terrain. Le dernier mot est resté à notre président. Logique. Lui qui n'a pas toujours été épargné dans les comptes-rendus cette année, nous a encore scotché en chantant "la Taule".