Contrairement aux produits laitiers, Manu Solana se bonifie avec le temps. Vous l'avez tous remarqué, il est toujours en tête aux footings, toujours le premier à nous montrer le chemin, bref, c'est un bel exemple de jeunesse conservée. Mais là, ce matin, le Manu arborait une chevelure flamboyante, exempte du moindre cheveu gris, rendant jaloux nos VDQS grisonnants ! Alors, miracle dû à la présence du Saint-Père sur notre sol ou bien, plus sûrement, utilisation d'un produit capillaire ? Nous ne manquerons pas de questionner l'intéressé, soyez-en sûr. Parce que pour nous tous, Manu, tu le vaut bien !
Bon, 28 samedi dernier, 32 aujourd'hui. Ce qui fait un vivier d'une quarantaine de présents sur ces deux derniers samedis. Sans oublier une belle brochette d'habitués (Pascalou, M.Dumortier, Bruno Covin et plein d'autres) que nous avons pas encore revu. Mais si à Toulouse, le remplaçant du remplaçant est un international, chez nous, le remplaçant du remplaçant reste un VDQS... Ce qui explique sans doute le grand nombre de fautes de mains lors des exercices proposés par Bibi.
Cela n'a pas gâché l'entraînement pour autant. Entraînement d'ailleurs effectué sous les yeux de Christian Dupraz qui nous a présenté la saison à venir. Premier rendez-vous fin septembre face aux Japonais de Paris lors d'un tournoi avec d'autres équipes (les mêmes que l'année passée). Christian nous a assuré que pour cette édition, les Japonais, en plus des sushis et autres sashimis, apporteront avec eux quelques geishas, histoire sûrement de débrider la soirée...
Voilà en tout cas un argument qui devrait décider les VDQS à être nombreux à l'entraînement de samedi prochain.
Au rayon visite cette semaine, Guy Paris et Koxé (pas libre pour l'entraînement mais curieusement disponible à l'heure de la bière !). La semaine passée j'ai oublié de signaler le passage de Yann Guillaumin. J'espère qu'on reverra bientôt le maréchal-ferrant sur le terrain.
Pour finir, un grand merci à Jérôme Schuler qui est venu photographier les VDQS pour les besoins du site à venir. Histoire de fournir notre trombinotronche et de ne plus entendre en match : "Eh machin, vas-y, fais moi la passe."