De mémoire de VDQS, et pas n'importe lequel (Koxé), 25 rueillois en représentation à l'extérieur, c'est du jamais vu. On râle souvent devant le manque d'effectif loin de nos bases, alors pour une fois, bravo à ceux qui ont pu venir (K.Echevarrieta, Schuler, Picard, Gauthier, Blanchot, Martin, Thibault X. (pote à Pascalou), Buecher, Lautrec, Gillet, Guillet, Massinon, les frères Carbonell, Tiret, Billion, Disdero, Poujol, Lullien, Meurat, Curnillon, Owen, Pistien, Solana et Corlay). Au niveau des absents, on déplorait le forfait de notre président, grippé. Bon rétablissement, Président !
Le match, on l'a perdu (1-3, essai de Mathieu Carbonell). Chaque équipe a eu sa mi-temps. Eux en première, où on prend 3 essais, un peu à froid, sur des décalages de ¾. Nous avons dominé la seconde, hélas sans concrétiser, malgré une occupation des 22 mètres adverses régulière. Et un signe qui ne trompe pas, nos adversaires se sont mis à accumuler les fautes (plongeons, entrées sur le côté, hors-jeu), dès que nous avons dominé la rencontre. Le tout avec la bienveillance de l'arbitre de la seconde période, un dénommé Ramon Garcia qui laissait faire beaucoup de choses. Enfin, même si tout ne fût pas parfait, la VDQS a fait un match très correct dans l'agressivité et en attaque, grâce à des ¾ bien en jambes.
Papykaxu nous avait averti, il n'avait pas pris de salsifis cette semaine. A priori donc, côté VDQS, il n'y allait pas avoir de bruits parasites. Grave erreur ! C'est l'ami Lapique qui a repris le flambeau, avec un concert de rots... François, c'est quoi ton régime ? Moins glorieux, le même François a tenté de s'approprier l'alliance de Pascalou. Les temps sont durs certes, mais certains sont prêts à de vraie bassesse pour surmonter la crise. Passons.
Mention à Thibault, le pote de Pascalou, qui a fait une belle entrée sous le maillot VDQS. Du physique, de l'envie, bref, une bonne recrue. Belle surprise de revoir les frères Carbonell, qui ont donné du tonus à notre ligne de ¾.
Après match à perpète, mais bien sympa. 11 VDQS sont restés à table, et là, y'a pas eu photo, au niveau chansons, on les a fait pleurer ! Le repas était correct (terrine maison, saucisses-lentilles, tarte aux pommes), mais ce n'était pas du Gilles Blanc non plus. A ce sujet Gilles, ne pourrais-tu pas nous concocter des paniers-repas lorsque nous jouons loin de chez nous ?
Nicolas Gillet a encore fait des ravages physiquement. Le demi (on peut le dire, il faisait 1 mètre 20) adverse est venu se cogner contre Nico. Le Voltarène devrait lui être bien utile cette semaine...
Hier soir, on a compris pourquoi Alain Tiret séchait les entraînements le samedi matin. Naïvement, on pensait qu'il habitait trop loin. Que nenni. Pendant que ses petits camarades courraient et pompaient, Alain tirait ! Le samedi matin, chez les Tiret, ça transpire, mais pas de la même façon qu'au stade du Parc ! Ah, la fougue toulousaine...
Vendredi, c'est Drancy. Il faut du monde parce que c'est du costaud.
