L’association VDQS a une nouvelle fois écrit son histoire, tout était réuni durant ces 4 jours pour vivre des moments exceptionnels, l’adhésion au projet (54 participants), la météo très favorable, la restauration, les matchs, l’attraction culturelle de Rome et un peu aussi, l’humour de Fabien.
Le titre n’est pas très original, j’en conviens, mais la sortie du film de Guillaume Canet, de manière quasi concomitante associée aux sobriquets régulièrement attribués par La Veuve, me simplifia le choix.
Parmi ces surnoms, on peut retrouver : Maloménix, (Christophe Dayre) Jéhintofix (moi-même), Sadomazochix , (ou encore Idéfix comme dirait Gautier) c’est-à-dire Fabien, mais aussi Ordralfabétix (pour les saumons de Ludovic, qui ne sentent pas mauvais)
Acte II, car les Vieux Déglingués de Qualité Supérieure nés en 1981 (ou avant) s’étaient rendus au même endroit il y a 10 ans, parmi les rescapés, nous pouvions retrouver les mêmes joueurs sur la photo 2013 Vs 2023 : Guillaume « TAC » Freddy, Fofayann, Charles, Vincenglier, mais également, PYM, Eric de Saint Affrique, Michel Boutet le Rochelais, Didier, Le PREZ, Cauet, Ronan, Xavier « Barquiss Botha » ou encore Eric Pistien, (ces derniers en tant que supporters) et enfin Christophe Carlier en tant que joueur du VRAC.
Le contexte avant le départ :
Ces dernières semaines, notre président Christian (70 ans) qui cumule les titres : « Ex-Ex Magic ex 69 Joe Bidon il Duce » était dans l’oeil du cyclone de madame le ministre des sports.
En effet, cette dernière traque actuellement les présidents de grandes fédérations : Laporte, Le Graet, ou encore Olivier Faure (je ne suis pas certain, pour ce dernier, qu’il soit président d’une grande fédération…) Pourquoi Christian me direz-vous ? non pas pour ses fichiers Excel très détaillés sur les 579 participants depuis 2008 dans les déplacements à l’étranger, ni pour sa gestion saine des comptes de la VDQS depuis tant d’années. Ni même les 58 billets achetés par Chabal , par la VDQS pour le match Italie-France, récupérés par Ludo à quelques jours du départ.
Madame Oudéa Castera (ancienne championne de tennis) sous la pression de son mari (ex PDG de la Société Générale), n’aurait pas accepté que la brillante association VDQS ne change de banque au profit d’une autre qui sponsorise la petite balle jaune.
De surcroit, des taupes avaient été identifiées au club house de Rueil il y a quelques mois. Un certain « Acidenitrix », responsable régional FFR RLO mais également de l’inclusion sous toutes ses formes (RLO = Rugby Loisirs, oui j’ai aussi des lecteurs dans le Loir et Cher qui ne connaissent pas les acronymes) nous avait attribué une mauvaise note au dernier « NPS » : (2/10)
En cause, les chansons de troisième mi-temps, « la femme aux morpions », « j’irai pas en vacances chez ma tante, parce que tonton, c’est une tata » ou encore « La fille du bédouin ».
En cause également, des remarques déplacées sur une bénévole du football de longue date, Sylvie (oui c’est anonyme, c’est RGPD) en lien avec ses origines ethniques (du Loir et Cher)
Au regard, de ce contexte, il était donc temps de partir, loin, en mission, chez nos cousins transalpins avec de la potion magique.
La Team :
(Je vous invite à récupérer le fichier Excel de Christian si vous souhaitez le détail des 54 participants)
Mais pour faire simple, il y avait les VDQS habituels, des XO, la fratrie Bielak, un groupe de 5 Vendéens (avec Yann en tête de gondole) un groupe du VRAC (dont ma soeur Julie) et quelques épouses / compagnes / copines / voire plus si affinités. Il y avait également les fidèles, Anne et Eric Pistien, sans oublier notre anglais préféré (oxymore) : Ian, qui venait de Madrid, et qui jongle entre le français, l’anglais, l’espagnol et la cervoise.
Le Départ :
Nous avions rendez-vous à Orly vendredi matin. La seule ombre au tableau de ce week end fut la compagnie aérienne, « Easy racket » ou « Fisty jet », je ne me souviens plus du nom de cette dernière.
En effet, un règlement stipule que les bagages cabines ne doivent pas dépasser : ( 45 cm *36*20, poignées et roues comprises) nombre de voyageurs se sont donc fait avoir, le supplément est de 48 €. Le seuil inférieur à 50 € permet de privilégier le paiement sans contact, et donc de gagner du temps pour plumer d’autres pigeons. Pour ceux qui ne connaissent pas « Franjo », je vous conseille son sketch : « Arnaqu’airline » Dans cet avion, nous avons reconnu Denis Charvet, (et pas David, pour les nostalgiques d’Alerte à Malibu) Fériel avait déjà sympathisé avec le steward italien entre 2 conversations géopolitiques sur la situation du Sahara Occidental avec Vincenglier le « marocain ».
Cet avion comptait énormément de supporters de l’équipe de France de Rugby, il est assez aisé de les reconnaitre, au bruit des canettes de Heineken tièdes déversées dans les poubelles vers 6h du matin. Environ 2 h après, et un petite somme pour certains, nous étions déjà arrivés à l’aéroport de Fiumicino.
30 mn plus tard, nous arrivions par le train à la gare de Rome Termini.
Gregory, déjà sur place, nous avait fait la surprise de nous accueillir à la gare. Derrière les vitres, avec ses lunettes de soleil et faisant d’amples gestes, on croyait revivre une scène du Grand Bleu : « Jacques, Johana » ou encore « Roberto, mio palmo » L’Hôtel :
L’Hôtel Best Western Plus Universo recommandé par Grégory Viscusius (un ancien légionnaire Romain qui avait immigré vers la grosse pomme) se situait à moins de 5 minutes de la gare. (Via Amadéo)
Il y avait une « surprise » au niveau -1 de ce même hôtel, en effet, nous avons appris que des élections régionales devaient se tenir le week end suivant, et à ce titre, une réunion préélectorale du groupe « Fratelli d’Italia » (que l’on pourrait traduire par « saucisses de Nantua ») se déroulait sous les yeux médusés de notre journaliste démocrate New Yorkais. « Oh comme c’est bizarre ». Lorsque les soutiens de Giorgia Meloni ou « Georgette Melon » comme dirait « Philippe Caverivière » déambulaient dans l’hôtel, ils sont tombés nez à nez face à Christian qui portait fièrement le Fez sur sa tête, les ultras conservateurs ont pris cela pour de la provocation. Comme disait Fabulous Fab, « il a failli provoquer une générale ».
Après ce dernier incident, qui n’a jamais eu lieu, il était temps de prendre l’air. Vendredi après-midi : 2 groupes de VDQS et Vrac ont visité le parc et la galerie Borghese. Ce vendredi était parfait pour se balader dans les rues de Rome. Durant ces 4 jours, il y avait beaucoup de temps libre pour découvrir ou redécouvrir Rome. Les principaux monuments ont été visités ou aperçus : le Panthéon, le Colisée, la Fontaine de Trévi, le Forum Romain, le Mont Palatin, les thermes de Caracalla, la Basilique Saint Pierre… Mais il en reste beaucoup pour la prochaine fois. (Chapelle Sixtine, musée du Vatican etc) Un vrai régal pour les Gaulois, qui ont largement apprécié la gastronomie romaine. Le soir, nous avions rendez-vous au ristorante Verso Sera vers 20h et non pas 19H comme l’avait précisé Gregory « nous ne sommes pas des wisigoths ». Ce dernier était venu avec sa femme et sa fille. La salle intérieure était privatisée, une cinquantaine de couverts étaient disposés. Serge Dubrana ( Idéal du gazon ) nous y rejoigna en guest star. Le repas était très bon, très copieux et certains ont calé avant le fromage. Puis retour à l’hôtel pour une nuit bien méritée. Le lendemain matin une seconde vague d’irréductibles Gaulois arrivèrent : Pym et Pymette, (Sophie) Éric et Christine, Fred Lavergne, Arnaud et Fleur de Vices (Pierre) qui est à moitié Viking.
L’avant match :
Samedi matin, Thibaut s’était levé tôt pour coucher sur le papier le nom des gladiateurs qui entreraient les premiers dans l’arène :
Le bloc 1 :
1 François La Pique, 2 Charles, 3 Fabien, 4 Miguel, 5 Gregory, 6 Jérome, 7 Julien D, 8 Arnaud, 9 Gautier, 10, Ludo, 11 Etienne, 12 Guillaume B, 13 Thibaut, 14 Julien F, 15 Fred N
Le bloc 2 :
1 Ian, 2 Vincent, 3 Christophe D, 4 Jerome, 5 Pierre Henri, 6 Alex Bielak, 7 Fred Bielak, 8 La Buche, 9 Serge, 10 Fred N, 11 Etienne, 12 Freddy, 13 Pierre, 14 Guillaume R, 15 Gautier
Le bloc 3 :
1 François La Pique, 2 Stéphane Bricault, 3 Christophe Roy, 4 Gregory, 5 Fofayann , 6 Julien D, 7 Pierre, 8 Arnaud, 9 Pascal Nivoix, 10 Ludo, 11 Julien F, 12 Freddy, 13 Guillaume B, 14 Patricio, 15 Thibaut
Nous avions rendez-vous à 12H devant l’hôtel pour un départ vers le club d’Arvalia Villa Phamphili en grande périphérie de Rome. Nous sommes partis en bus, l’ambiance était détendue mais avec la concentration qu’il faut.
Ce club de série B (il n’y avait pas de jeu de mot, Koxe) fondé en 1980 nous fit un excellent accueil. En effet, à l’entrée du stade, nos hôtes avaient imprimé des tee shirts de la marque « Fruit of the Loom » cela change de « Macron », je parle de l’équipementier… (De couleur bleu marine, vert ou encore bordeaux) les logos des 3 équipes étaient floqués.
L’équipe des Old Villa, dont le logo représente Obélix. (Une aubaine pour ce compte rendu sur la thématique des gaulois) Ce dernier portant à la place d’un menhir, un gros ballon de rugby dans son dos. Les Vieux Crampons de Versailles étaient également présents, contrairement aux informations que nous avions reçues précédemment, nous pensions qu’il s’agissait des Ignobles Mondains de Montigny.
Michel Boutet trouva un tee shirt XXL vert (au couleur du club) Christian s’engouffra dans la brèche : « Besoin d’un crédit ? adressez-vous à Cetelem… ». (En référence à « Crédito », le personnage bien connu du crédit à la consommation)
Les hymnes furent joués pour les 3 équipes, ils commencèrent par « la Marseillaise » en honneur pour les invités, puis vint le « Fratelli d’Italia ». La sono était de mauvaise qualité, il y avait des coupures de son qui décalaient les paroles, (déjà que l’on ne chante pas très juste…) On se serait cru dans les années 70 en Union Soviétique, à moins que cela ne soit la barre d’immeuble d’environ 1 km qui surplombait le stade qui me fasse penser à cela ?
Le discours du PREZ : « ce que je vous demande avant tout, c’est d’être exemplaire sur et en dehors du terrain, je compte sur vous »
Les Matchs :
2 matchs à toucher furent joués, le VRAC avec le renfort d’autres joueurs proposait 2 équipes. Thibaut joua de son côté avec 4 italiennes pour faire le nombre dont la fameuse numéro 9, Sabrina.
Nous avons commencé contre les Vieux Crampons de Versailles. Notre dernier match face à eux remontait à octobre 2019, sur leur terrain d’honneur, le score était d’un essai partout, je m’en souviens, Freddy m’avait fait la passe.
La durée des matchs était de 2 * 15 minutes avec des règles adaptées aux vétérans italiens, pas de contre ruck, pas de lifteur en touche. (Finalement comme l’an passé à Risca) Temps magnifique, terrain synthétique datant de la même époque que la sono.
VDQS – Vieux Crampons de Versailles : Victoire 4 essais à 1 (2 à 0 à la mi-temps)
Essais dans l’ordre chronologique : (Thibaut 2 fois, Etienne et la Buche)
Le match fut très bien entamé par la VDQS, avec d’entrée de jeu, 2 essais marqués par notre capitaine. Aucun en avant dans ce match, ce qui est assez rare pour être souligné, des placages en bas. Il faut également préciser que l’arbitrage était formidable. Personne n’a contesté les décisions justes de M l’arbitre. (De part et d’autre) Une belle partition en somme, à l’image de la primavera de Vivaldi.
VDQS – Old Villa Pamphili : 6 essais à 0 (3 à 0 à la mi-temps)
Essais dans l’ordre non chronologique : (Julien F 2 fois, Etienne 2 fois, Ludo, Frédéric Bielak)
Le match face aux Romains fut plus aisé, en effet, il s’agissait d’une « vraie » équipe de vieux.
Vieux Crampons de Versailles – Old Villa Pamphili : 3 à 0 (dont 2 essais marqués par des VDQS, Fred Noaro et Miguel)
Les Versaillais a priori en effectif limité, ont proposé aux VDQS (qui souhaitaient jouer à nouveau) de renforcer leur équipe durant le 3 eme match.
Les VDQS ont donc remporté le plateau et Christian reprit la parole :
« J’ai rarement vu une première mi-temps (vs Versailles) aussi bien jouée en VDQS depuis très longtemps » Nous avons profité de cette phrase pour demander une prime de match au président.
La soirée : ou plus précisément la fin d’après-midi.
Nous avons commencé par déstocker toutes les bières des frigidaires du boui-boui de Pamphili, en profitant d’un match de jeunes qui opposait les locaux à l’équipe nationale de Norvège. (Rugby à 7) Puis nous étions attendus un peu plus tard, dans une sorte de grand hangar ou l’ensemble des convives étaient réunis. Je n’ai pas compté, mais selon les syndicats il y avait 532 personnes, et selon la préfecture de police, 43 convives. Le chiffre devait être objectivement d’environ 120 personnes.
Les traditionnelles bouteilles de vins apportées par les VDQS ont été offerte à nos hôtes, ceux-ci les ont disposées sur les tables. Lors de la cérémonie, Christian offrit le trophée VDQS à nos hôtes, Grégory faisait la traduction. Thibaut offrit un maillot VDQS au capitaine de l'équipe italienne.
Le capitaine des Vieux Crampons (un mélange de sanglier et d’ours qui serait resté trop longtemps au soleil) fit également un discours et entrouva une porte pour une prochaine rencontre à venir avec les VDQS. « Et pourquoi pas ? et pourquoi pas ? »
Les Italiens offrirent en retour un fanion à l’effigie de leur club, une cravate à Gregory ainsi qu’une bouteille de liqueur au laurier au Prez.
Le FEZ, malgré 3 nommés : Pierre, Freddy et Julien F ne fut pas décerné ce soir-là, en effet, au regard des 2 prestations, le comité des sages en charge de l'attribution du fez estimait qu’il était délicat d’attribuer à quiconque ce prix. (Même si Pierre l’aurait quand même mérité…)
Nous avons envoyé les premières banderilles sur la battle de chants : « La Femme aux Morpions », non relancés par nos concurrents, puis les Versaillais ont entamé « La Pitchouli », s’en suivi quelques chansons italiennes.
La chanson « Les fêtes de Mauléon » fut interprétée en choeur par les VDQS et les Vieux Crampons, nous eûmes également droit à une chanson en solo de Ian, (Han Solo pour Xabi…) Nous n’avons pas eu d’autre choix que de relancer par : « et les Anglais, ces En… »
Mais c’est finalement la sono (réparée) qui mis l’ambiance, durant des heures.
Les filles étaient sur la piste, Marie-Laure, Laurence, Laure, Julie, Cristina, Cécile, Claire et Sabrina, (le nouveau tube de cette édition, son mari n’était jamais très loin de l’élégante transalpine)
Guillaume « Tac » s’était remis de sa triple fracture au coude ou au poignet, il faisait honneur à cette magnifique danse des années 2007 : La Tecktonik…
Cristina, qui voyait jouer Miguel pour la première fois en match ne fut pas déstabilisée sur la chorégraphie de la Macaréna, contrairement à Freddy, qui était systématiquement hors-jeu.
Des chenilles passaient régulièrement d’un bout à l’autre de la salle, l’ambiance était folle. Le lac du Connemara de Michel Sardou fut également un grand moment.
Bref, il fallait partir, vers 22H nous partîmes en bus, et comme à chaque fois, les retours sont fous, les chansons se sont enchainées durant tout le trajet, avec entre autres La Buche qui chanta « Les Tuyaux » dans sa version anglaise avec « Bernadette », un vieux souvenir des soirées étudiantes à l’ICAM. (Julien Dupraz ne s’en remettait pas). Ce fut aussi l’occasion de rendre hommage à Guy Paris avec ses chansons fétiches : Les P'tits Oizeaux" et Le Cosaque.
Au retour, une grosse vingtaine de VDQS prolongèrent la soirée dans un « pub » Karaoké.
Certains ont joué les arrêts de jeu, dont la Buche pris en photo dans la nuit (par un indic dont je tairais le nom) avec une jeune britannique. Celle-ci participait à un enterrement de vie de jeune fille, elle avait insisté pour porter le maillot vintage VDQS (c’est vrai qu’il plait beaucoup ce maillot) Ce dernier a finalement pu le récupérer. Cette séquence nous rappelait un slogan de la FFA (Fédération Française pour l’Alcool : On a pas le même maillot, mais on a la même passion »
Le lendemain, après une soirée arrosée, Ronan confia au petit déjeuner au sujet de Tac : « un faux calme et un vrai cinglé »
Le dimanche matin
Un groupe de VDQS, avec parmi eux le président, est tombé presque par hasard sur le 15 italien aux abords du colisée.
En ce début d’après-midi, nous avions rendez-vous au Stadio Olimpico, il valait mieux avoir une pièce d’identité sur soi, Julien F en fit l’amer expérience, Ludo également, il fut sauvé par sa licence de … rugby (quel symbole) L’histoire se termine bien, tout le monde était à l’heure pour le match de 16H.
Le match de l’équipe de France :
En ce milieu d’après-midi, dans une tribune inondée de soleil, on entendait déjà dans les travées : « Le terrain est lourd » ou « les sangliers ont mangé des cochonneries » ou encore « je préfère Jennifer à Sabrina »
Les Français ont gagné difficilement, (29 à 24) mais ont ramené le point de bonus offensif, des décisions arbitrales étaient contestable, Charles fit une rechute au grand dam des Italiennes aspergées de bières qui se trouvaient à proximité.
Après un retour, en bus, taxi, tram ou à pied selon l’humeur, les VDQS se sont à nouveaux dispersés, pour le diner.
Le lundi matin, plusieurs groupes de VDQS se sont donné rendez-vous à la basilique Saint Pierre de Rome. Ce fut encore une très belle journée.
Le cadeau remis à « Christiano »
Avant le départ pour la gare, les VDQS souhaitaient remercier Christian, il reçut un beau sweat bleu azur aux couleurs italiennes.
Tic a également reçu son maillot (taille « M », c’est important pour lui) la semaine suivante, à l’issue de notre match à Plaisir.
Le retour en avion fut assez calme, avec un peu moins de racket en bande organisée qu’à l’aller sur les bagages. De manière inattendue, le steward, qui sans doute, appréciait les Dieux du Stade, félicita la VDQS au micro pour sa brillante victoire en Italie. En effet, ce dernier avait été briefé quelques minutes plus tôt par nos amis Miguel et Vincenglier. Le steward fut applaudi, la pilule du lendemain à 48 € était presque passée.
A l’arrivée, avant que les VDQS ne se dispersent, un dernier « Lac du Connemara » retentit au terminal 9 de la bagagerie du sous-sol d’Orly. Charles attendait sa femme Pascale qui revenait d’Irlande, avec le léger retard de notre avion, le timing était parfait pour les Cazamajor.
Il était temps de rentrer, sauf pour les « Vendéens » (Yann, Pascal, Christophe, Stéphane, Patricio) , qui avaient encore quelques heures de route. (Ils ont finalement rallié La Roche vers 3H45 après un stop à Angers.)
Les traditionnels remerciements :
Merci à Philippe « Tic » qui s’est occupé des billets d’avion, on espère qu’il sera avec nous au prochain déplacement. Christophe « Corletto » qui a contribué à la diffusion de l’information préparatoire au voyage. Lui non plus n’a pas pu venir, on l’espère également l’an prochain.
Merci à Gregory qui a recommandé l’hôtel, (confortable et central) choisi le restaurant du vendredi soir (privatisé) et traduit en italien / français à chaque occasion où il pouvait le faire, notamment à la réception d’après match.
Merci à la fille de Grégory qui a pris de « vraies » photos lors de nos 2 matchs. Nous les attendons avec impatience.
Merci également à Michel B pour les scores en direct, Guillaume R qui nous a bien aidé grâce à son très bon niveau d’italien durant les 4 jours.
Merci à Thibaut qui a concocté les équipes et pour tout le reste.
Merci à la Pique pour la story du week end sur instagram.
Merci évidemment à Christian pour l’organisation, la répartition des chambres, la communication, les discours, les relances pour les avances, les statistiques et les macro excel.
Cette année, la conclusion sera pour PYM :
« Ces week end font tellement de bien qu’ils devraient être remboursés par la Sécu ! (Même si les quantités de liquides et de solides ingurgités dépassent un tout petit peu les valeurs recommandées par la médecine) »
Vive la Gaule, vive la VDQS !
Etienne « Popot Raffûte »