Après deux ans sans déplacements et un séjour avorté en Italie l’an passé, pour les raisons que nous connaissons tous, la VDQS s’était mobilisée pour une nouvelle aventure.
Six ans après Neath, les VDQS et Cie retrouvaient le Pays de Galles avec cette fois ci, 43 participants.
(Je vous préviens d’emblée, il n’y aura pas d’écriture inclusive dans ce résumé, participant-e-s-es…)
Ce voyage fut une nouvelle occasion de rendre un hommage à Guy Paris, qui, aurait sans aucun doute apprécié le spectacle ainsi que la troisième mi-temps et ses paillardes.
En ce vendredi matin 11 mars 2022, tous les élus étaient à l’heure à la gare du nord, Fabien s’était levé très tôt (3H17 environ) il débarqua chez Gautier, qui était occupé à faire les joints de sa baignoire. Fabien était un peu stressé, il ne voulait pas rater son train, ce dernier était enthousiasmé à l’idée de se rendre au championnat de belote international en doublette spécialité « Coinche ».
Je passerai rapidement sur les sujets liés à l’organisation qui, pour le coup, prirent énormément de temps aux organisateurs : l’imbuvable « Passenger Locator Form » (PLF) à remplir, le schéma vaccinal à justifier, les passeports en cours de validité, les 6 lits « double » que certains VDQS ont dû partager en lieu et place de lits « twins » à l’hôtel (je peux témoigner) En passant également par les billets du match envoyés sur un mauvais numéro de portable, les appels téléphoniques auprès de la ligue « Ile de France », puis au président de cette même ligue, mais également auprès de la billetterie de la fédération Galloise de rugby pour les récupérer, le téléchargement de l’appli «principality stadium» sur smartphone pour la réception individuelle des billets, bref après cette histoire de «Covibrexit2.0», nous fûmes soulagés quelques heures avant le départ de savoir que nous pourrions assister au match de l’équipe de France. (Avec toit ouvert pour ventiler…) Christian était fatigué, heureusement pour nous, il est à la retraite.
La team :
Parmi les nouveaux venus lors d’un déplacement VDQS :
Laure Petiet (joueuse du VRAC), qui a « remplacé » mon beau-frère « Blanche neige » pour cause de surcharge professionnelle et toujours en délicatesse avec son genou, (encore une histoire avec sa maîtresse « Natixis », à mon avis…) Laure a apparemment passé un bon moment en notre compagnie.
Aurélie, l’épouse de Thibaut (au taquet pour les encouragements !) et André le père de Thibaut, fringuant octogénaire, très à l’aise et toujours la banane.
Pascal Nivoix un ami vendéen de Yann, rencontré par certains VDQS il y 1 an et demi au 50 ans de Fofayann, qui porta fièrement les couleurs VDQS avec son maillot vintage à la troisième mi-temps. (Il est accessoirement joueur à La Roche sur Yon) Pascal aurait bien joué s’il avait eu le feu vert médical.
Julien Feignier dont c’était le premier déplacement et également premier match en VDQS. Il se souviendra longtemps de ce week-end, dorénavant il cultive une nouvelle passion pour les moutons, à suivre…
Ceux qui voulaient venir mais qui n’ont pas pu : Frédéric Noaro, coach en intelligence collective (entre autres) du Tours Volley Ball hélas positif à la Covid. (Mais présent à distance)
Michel Boutet (fidèle des fidèles dans les déplacements VDQS) qui eut la tristesse de perdre sa maman quelques jours avant.
Et enfin ceux qui auraient pu venir : Marou, Freddy et plus si affinités. Ce compte rendu, est aussi l’occasion de faire un clin d’œil à notre ami Olivier Albert.
Nous avons donc pris l’Eurostar, puis le métro, station « Paddington » et enfin un nouveau train pour Cardiff. Nous sommes arrivés à l’hôtel Holiday Inn qui est situé à seulement quelques mètres du stade « Principality stadium » en référence à un assureur connu outre-manche, plus connu sous le nom de « Millenium ». Cet hôtel était « envahi » de français, heureusement pour nous, notre anglais préféré, Ian, vêtu d’un polo frappé du coq, et arrivé par le train précédent nous attendait sagement à 12H54, pas à la garderie mais au bar avec une Guinness. Par ailleurs, Il y avait du beau monde dans cet hôtel, nous avons croisé d’anciens internationaux, Yannick Nyanga, Brian Liebenberg.
Nous avons aussi croisé « Patrice » un joueur du RAC 3 déguisé en Assurancetourix qui nous avait reconnus. Dans les rues adjacentes, d’autres ont croisé Vincent Clerc.
Le déjeuner sur les docks :
Après avoir déposé nos affaires à l’hôtel, La Pique avait réservé un restaurant sur les docks. Nous avons marché quelques minutes (35 minutes environ) en passant par les coins les plus chics de Cardiff, (banlieue sinistre et grise) pour nous retrouver dans un restaurant spacieux et agréable en bord de mer.
A la sortie du restaurant, nous avons eu droit à un remake du film « Titanic » sur la proue du bateau mais en mode « inclusion » … avec 2 hommes.
En ce milieu d’après-midi, c’était quartier libre, l’objectif était de ne pas rater le début du match à 20H, heure locale.
Le match de l’EDF :
Une grosse ambiance, dans ce magnifique stade, environ 70 000 spectateurs étaient présents, des hymnes qui vous donne la chair de poule, des Français présents, sans doute entre 10 et 15 000, puis la libération au coup de sifflet final. Le week end était déjà réussi. « chalalala, allez les bleus !»
Sur les réseaux sociaux, on pouvait déjà lire quelques commentaires : « c’est le genre de match que l’on aurait perdu il y a quelques temps »
Les joueurs Français firent un tour de stade, pour notre plus grand bonheur, Paul Willemse, exténué par ses 80 minutes de jeu, ferma la marche sous une ovation.
Durant le match, Charles fut parfois excédé par les décisions arbitrales, lors d’un temps mort, sans chansons, il se mit à hurler :
« Putain, mais c’est pas possible, l’arbitre, espèce de ………… »
Heureusement qu’il était accompagné d’une infirmière spécialisée en trouble du comportement arbitral (TCA) et du syndrome « Gilles de la Tourette ». Elle s’appelle Pascale et accessoirement, c’est la sœur de Ludovic. (Et hop un petit cacheton pour calmer le Rochelais)
Pour ceux qui l’ignore, (et dans le groupe, il y en a peu) une sortie de stade est toujours complexe, entre les mouvements de foule, les arrêts toilettes, ou « je fais des photos avec Gérard » tu ne sais plus bien avec qui tu étais, qui tu cherches, si tu as faim ou soif voire les deux.
A titre personnel, je me suis retrouvé dans une équipe de 12, puis finalement de 16, nous sommes rentrés dans un restaurant de spécialités turques et nous n’avons pas regretté. (Hormis la chaleur du four, juste en dessous de nous) D’autres petits groupes ont tenté de rentrer dans des pubs, déjà saturés par la demande. Cela tombait bien, nous avions un match programmé vers 14H le lendemain et un peu de sommeil après une grosse journée et une forte émotion nous ferait le plus grand bien.
Le lendemain vers 09 H, un petit déjeuner continental nous attendait, il fallait bien prendre quelques protéines avant notre déplacement et des « tchampignonsses » pour TIC.
Un bus qui avait été réservé par nos gentils organisateurs, nous emmena donc dans la ville de RISCA. Cette ancienne bourgade minière d’environ 12 000 âmes, est plus proche de Newport que de Cardiff.
Nous fûmes bien accueillis par ce club créé en 1875, respect !
Nos supporters :
En plus des 25 joueurs (tout le monde a joué) il y avait nos supporters, ceux qui ont fièrement porté le maillot VDQS dans le passé ou ceux qui n’était pas encore remis pour jouer : Malomenix, son cousin Christophe B, Stéphane « Bastagros », Laurent, Ronan, Sylvain « CAUET » Christophe Carlier (du VRAC) et bien entendu PYM et Christian. Fred Lavergne (ex VDQS) qui se trouvait également dans le secteur, (mais lui était venu en avion) nous fit l’amabilité de venir nous soutenir à Risca.
Nous avons également reçu le soutien de nos supportrices : Pascale, Aurélie, Marie-Laure, Sandrine, Laure, Claire et Sophie (Pymette)
L’avant match :
Notre coach Manu avait concocté avec l’aide de notre capitaine la composition de l’équipe et les rotations à venir.
Notre autre coach Serge alias « Danse avec les genoux » avait précédemment envoyé un courrier à Christian ainsi que des vitamines à notre attention. Christian nous lut le contenu dans les vestiaires, heureusement pour nous il ne s’agissait pas de la fameuse lettre de Guy Moquet….
Discours d’avant match du capitaine Thibaut : « on joue ensemble pour se faire plaisir » puis « on est fait pour être ensemble » ou encore « restez connectés » « et la bière, elle est toujours meilleure quand on a gagné »
Comme le dit souvent Stéphane Plaza, (un ami personnel de Gautier) « l’emplacement, l’emplacement, l’emplacement », pour Thibaut c’était « l’attitude, l’attitude, l’attitude »
Discours de l’EX-EX Magic 69 (sans doute en référence à un département…)
« Le mot que je retiens là-dedans, c’est l’esprit, la VDQS c’est quelque chose qui est précieux, qui a des décennies d’histoire, vous en faites partis, vous l’avez donné à d’autres, vous l’avez hérité d’autres et c’est l’esprit qui l’a fait vivre, je compte sur vous pour le perpétuer sur et en dehors du terrain »
Je réécris mot pour mot une partie de son discours car la dernière fois, il y avait des approximations dans la presse Rueilloise, et je n’ai pas envie de me faire virer.
Avant le coup d’envoi, nous avons lancé une « Marseillaise », afin de marquer notre territoire sur un terrain très gras. Vous noterez que nous nous sommes améliorés par rapport à notre chant en Ecosse d’il y a 2 ans (ça sonne un peu moins faux…) Nos hôtes n’ont pas fait le choix de chanter, ils se rattraperont dans la soirée.
Le match RISCA vs VDQS:
L’arbitre nous proposa 2 mi-temps de 35 minutes (pas sûr que la seconde mi-temps ait duré 35 minutes ?).
Avec des règles étonnantes : Les touches étaient bien disputées, mais les sauteurs n’avaient pas le droit d’être liftés. C’est donc sur les qualités de détente et sur la taille que cela se jouait. Jérôme était donc ciblé. (On reparlera plus tard de Jennifer, soyez patients)
Plus qu’étonnantes, ce sont les changements ou adaptation (selon votre rapport avec l’arbitrage) des règles dans le cours du match qui agacèrent notre capitaine. Nous avons également été plusieurs fois sifflés sur des passes en avant inexistantes (vidéo à l’appui)
En somme, nous avons un peu eu le sentiment d’être arbitré par Nigel Owens. (Et ça fait mal…) Bizarrement, nous n’avons pas entendu Charles faire une crise à ce sujet.
L’équipe de départ : en première ligne : Philipe « TIC », Charles, et La Pique, en seconde : Fofayann et Miguel, en troisième : Jérôme, Arnaud et Ben, en charnière : Serge et Ludovic, au centre, Pierre et Guillaume B « TAC » , aux ailes : Alexandre Be (14) et moi-même (11) et enfin Thibaut en 15.
Mais revenons au match, que nous avons bien entamé, nos avants pilonnaient la défense Galloise à quelques mètres de leur ligne. Malgré une domination, nous n’avons pas su concrétiser.
Il y eu d’abord une touche où Charles officiait en tant que talonneur pour Jérôme aux 22 mètres, suivi d’un maul qui échoua à seulement 1 mètre de la ligne. (Mais avec pénalité en notre faveur)
Serge « idéal du gazon » avait cru marquer un essai, mais il s’agissait de la ligne des… 5 mètres. A sa décharge les lignes blanches n’étaient pas très visibles. (On ne voyait même pas la ligne des 22)
Un peu plus tard, Charles initia un superbe maul, (avec à 5 ou 6 VDQS) dans lequel nous avons gagné au moins 20 mètres. De leur côté, les Gallois écartaient beaucoup leurs ballons, mais nous étions vigilants en défense.
Sur une mêlée en notre faveur à 15 mètres des poteaux Gallois, Serge envoya le ballon à Thibaut qui s’était intercalé dans le côté fermé. Après avoir fait la différence et fixé la défense, il me fit la passe. Je me souviens avoir failli trébucher, ou ralenti par le dernier défenseur, peu importe, l’essai était enfin là. RISCA 0 - VDQS 1
Jérôme dut sortir quelques minutes (arcade -> strip) et c’est Guillaume R qui le remplaça temporairement.
Les Gallois réagirent et sur un débordement côté gauche pour eux, Alexandre Be se fit déborder. Guillaume B tenta jusqu’au bout de reprendre notre adversaire, mais Risca marqua l’essai dans le coin.
RISCA 1 : VDQS 1
A la mi-temps, ou au cours de la seconde mi-temps, les « finisseurs » rentrèrent : Alexandre Bielak en troisième ligne, son frère Fréderic au centre, Julien à l’aile, et Corletto à l’autre, Gautier en 9, Grégory en seconde ligne, et enfin Ian, Fabien et Vincenglier en première.
Deux actions me reviennent à l’esprit en seconde mi-temps :
Sur une belle construction et une série de passes dans le camp Gallois, Ludovic pour Alexandre Bielak pour Fréderic pour Pierre, puis pour moi-même, (je jouais numéro 15 à ce moment) et enfin Julien à l’aile gauche, c’était un 2 contre 1 à quelques mètres de la ligne. Ce dernier ne contrôla pas le ballon à son plus grand désespoir.
C’était une balle de match et Julien sera « récompensé » un peu plus tard pour cette action.
Un peu plus tard, les Gallois eurent également leur balle de match, sur un départ côté gauche, le long de la touche un adversaire se fit la malle, je tentai bien de le reprendre, mais j’étais sans doute un peu loin. Lancé à sa poursuite, il tomba d’un coup (tout seul) j’ai pu gratter le ballon et dégager au pied comme je pouvais.
Quelques minutes après et le retour de Thibaut, (qui avait été sorti 5 ou 10 minutes par l’arbitre, ce n’était pas clair) l’arbitre siffla la fin du match, nous eûmes droit à la traditionnelle haie d’honneur, et en prime, un « clapping » face à nos supporters.
Score final : RISCA : 1 – VDQS : 1
La réception d’après match et la 3eme mi temps :
Les traditionnels saucissons, fromages et bouteilles de vins apportés par les VDQS furent très appréciés par nos hôtes, y compris par les goélands, en effet le fromage de TIC avait disparu du rebord de la fenêtre de sa chambre d’hôtel la veille.
Thibaut reçu une cravate de la part de nos adversaires en tant que capitaine. On verra s’il la mettra au bureau…
Christian fit un discours, d’abord en français à sa demande, traduit par La Pique, puis alternativement en anglais, traduit par La Pique … en français… pour les VDQS qui n’auraient pas compris. Cela fit bien rire nos hôtes gallois et nous-mêmes.
RISCA RFC par l’intermédiaire de son président remit un joli trophée (avec leur blason) et un sac de Pin’s qu’ils détenaient depuis plus longtemps que les anciennes cravates VDQS, c’est pour vous dire !
En échange, Christian offrit à son tour un trophée RAC / VDQS plus « moderne » dans sa forme qui fut apprécié par l’assemblée.
Les remises du FEZ :
Julien gagna donc le FEZ côté VDQS pour son action précédente, ému et désormais célèbre, il garda sa tête de mouton sur la tête tout le week end y compris la nuit.
Du coté Risca, l’homme qui était tombé tout seul sur le champ, dit « le Moustachu » gagna l’équivalent de notre FEZ auprès de ses partenaires. Il me confia dans la soirée avec beaucoup d’honnêteté que cela n’était pas la première fois que cela lui arrivait. (De tomber…)
Ian rencontra l’un de ses compatriotes Anglais dans l’équipe Galloise, (même si celui-ci ressemblait plutôt à un Viking) tous deux ont soufferts durant le match Angleterre-Irlande qui était diffusé dans le club House sur grand écran, c’est à peu près à ce moment-là que Charles fit une rechute au sujet de l’arbitre de la rencontre. (Et hop un nouveau cacheton)
La bataille du chant :
Nous avons d’abord envoyé nos avants pour le combat : Christian, PYM, (sans doute le meilleur chanteur historique des VDQS) puis une bonne partie de l’équipe, TIC et TAC, CAUET, Miguel, La Pique et la Bretagne à l’honneur : en plus de PYM, Corletto (« Jean François de Nantes »), Ronan et son célébrissime, « Little Huguette ».
Les classiques VDQS : « J’irais pas en vacances chez ma tante », « Les odeurs », « La fille du bédouin », « Le Père Abraham », « Les couilles de mon grand-père », « La femme aux morpions », « L’incendie de Rio », « Le troubadour » et tant d’autres encore.
Sandrine a également poussé la chansonnette : « Hegoak » en basque dans le texte, nos amis Gallois étaient perdus.
Les hymnes furent également au programme, avec une nouvelle « Marseillaise », « Land of my father » émouvant de leur côté et même « Ireland’s call » entrecoupé régulièrement par des : « et les Anglais, ces en…. »
Battle de chants, les cœurs Gallois alternaient les chansons traditionnels (« Alouette ») Sophie fut approchée pour expérimenter cette chanson, (où une femme reste assise, et je pense qu’elle eut raison de décliner…) mais également des chansons presque « contemporaines » :
“I want to go Home” de Johnny Cash ou encore « Minnie the Moocher » de Cab Calloway (un classique dans le film les « Blues Brothers »)
On peut objectivement penser que nous avons gagné la troisième mi-temps, en attendant la quatrième. à suivre…
Nous sommes rentrés en train de manière dispersée, (il y avait 1 train toutes les heures pour le retour vers Cardiff) Mais les chants continuaient dans chaque wagon.
A Cardiff, un groupe d’une quinzaine de VDQS s’est retrouvé dans un pub où les choix musicaux étaient orientés vers de la variété Française… « allumer le feu » de Johnny par exemple, où notre capitaine se fit un peu chambrer, mais pas trop non plus.
Une dernière petite équipe (pour la délation : Pierre Grenard alias « fleur de vices » les frères Bielak, Jérôme, Stéphane « Bastagros », Guillaume R, Julien dit « le Bouc », ») poursuivirent dans une boite de nuit.
Des vidéos circulaient en quasi direct, en effet, l’ère de modernité et les réseaux sociaux ne permettent pas une grande confidentialité des évènements. A cette occasion, nous avons tous constaté que « Bastagros » était en pleine forme.
Tellement en forme qu’il en perdit son téléphone portable avec toutes les photos de notre match… Cela mérite sans doute un spécial FEZ pour Bastagros ?
En tout cas, nous avions perdu toute trace de Jennifer, au grand regret de certains.
Le retour :
En ce dimanche midi, après un nouveau petit déjeuner de compétition, nous sommes repartis à la gare de Cardiff, direction Londres.
Fabien s’était débrouillé pour obtenir les 4 places face à face pour une partie de … belote, Le Sanglier, Ben et Ludo y participaient, nous n’avons pas trop su quels étaient les enjeux, mais nous avons rapidement compris qu’il ne fallait pas perdre (« 120 à Pique ») Dans le même temps, Grégory se lançait dans une partie d’échecs face à son ordinateur, d’autres se reposaient, Pierre, Christophe B ou encore Christophe Ca.
Après un rapide déjeuner dans une brasserie de la gare pour certains, brasserie dans laquelle le service était déplorable, nous avons franchi la douane. Nous avons failli repartir sans Marie-Laure B qui faisait quelques emplettes à la gare Saint Pancras. (En même temps, ses 4 filles avaient dû lui faire une liste de courses ?)
Les remerciements :
L’organisation fut une nouvelle fois à la hauteur, merci « TIC » pour les billets de l’eurostar, François pour le choix de l’hôtel (en plein cœur de Cardiff avec vue sur le stade), la réservation du restaurant sur les docks, mais également d’avoir déniché une équipe de « vrais vétérans » (les « faux » vétérans étant âgés de moins de 35 ans) sans compter la traduction.
Merci Christian pour les billets du match Galles-France, avec au début l’aide de Guy Paris. Sans oublier : la comptabilité, les avances de trésorerie, les éternelles relances et toute la logistique (correspondances, location du bus, billet de métro, la distribution des chambres d’hôtel etc)
Merci à tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à cet évènement, merci au capitaine Thibaut pour son engagement sans faille.
Nous remercions également Fabien (non pas d’avoir remporté le trophée de belote) mais d’avoir pris en photo « Ian the machine » dimanche matin avec sa pinte de Guinness sur le coup de 11H17 cette année. (Hors décalage horaire pour Ben…)
Grâce à lui, ma belle-mère pourra me dire à nouveau : Ce sont les mêmes diapos que la dernière fois » Il n’y a pas à dire, la tradition, cela a du bon.
Résultat de la « quatrième mi-temps », nouveau concept 2.0 cher à Christian, qui consiste à compter le nombre de covidés à la fin du séjour ! VDQS : 17 RISCA : 9 (Ah si le drop de Ntamack était passé…le score aurait été identique)
Et sinon heu… on repart quand ?