Il existe une version écrite par Georges Brassens et mise en musique par les Charlots (véridique). Voyez les paroles ci-dessous. Notre version vaut le détour lorsqu'elle est interprétée par le grand Vic..., pardon, le grand Sixou et Christian Guyomard. Dégagez les tables, ils ont besoin de place.
A la Pentecôte quand l'herbe est trop haute
Moi je la coupe à la faux
Ma femme l'entasse au râteau
Et l'curé la broute
Et l'curé la broute
Mais le grand vicaire de santé précaire
N'a jamais pu la brouter
N'a jamais pu la brouter
C'est ce qui l'emmerde
Quand se paralyse la cloche de l'église
Moi j'dis qu'il faut réfléchir
Ma femme dit qu'il faut agir
Et l'curé la branle
Mais le grand vicaire de santé précaire
N'a jamais pu la branler
C'est ce qui l'emmerde
Chez nous sur nos crânes, foin de bonnets d'ânes
Moi je porte des képis
Ma femme porte des bibis
L'curé les calottes
Mais le grand vicaire de santé précaire
N'a jamais décalotté
C'est ce qui l'emmerde
Quand sur notre place on vend de la glace
Moi je dis : j'veux pas transir
Ma femme dis : j'veux pas grossir
Et l'curé la suce
Mais le grand vicaire de santé précaire
N'a jamais pu la sucer
C'est ce qui l'emmerde
Si par aventure, arrive une voiture
Moi j'm'occupe du moteur
Et ma femme des visiteurs
Et l'curé des charges
Mais le grand vicaire de santé précaire
N'a jamais pu décharger
C'est ce qui l'emmerde
S'il se présente une flaque inopportune
Moi j'évite en vieux lascar
Ma femme fait des grands écarts
Et l'curé la saute
Mais le grand vicaire de santé précaire
N'a jamais pu la sauter
C'est ce qui l'emmerde
Quand il faut remettre du tulle aux fenêtres
Moi je porte les anneaux
Ma femme porte les rideaux
Et l'curé la tringle
Mais le grand vicaire de santé précaire
N'a jamais pu la tringler
C'est ce qui l'emmerde