Chanson de 1967, interprétée notamment par Dario Moreno et Sacha Distel. Chanson incontournable de chaque soirée, mélodie agréable et gestes qui impliquent tous les convives. Bon, pour les accros de paillarde, on peut ajouter deux couplets plus lestes...
En pleine nuit une sirène
Appelle au feu tous les pompiers.
Et tout Rio qui se réveille
Voit brûler l'usine à café.
Il n'y a plus de temps à perdre sinon tout l'quartier va brûler
Oui mais voilà, pendant c'temps-là dans la caserne on entend les pompiers crier Ohé ohé ohé !
 
Refrain:
Où sont passés les tuyaux, les tuyaux, les tuyaux ?
Où est passée la grande échelle ?
Où sont passés les tuyaux, les tuyaux, les tuyaux ?
Pas de panique, il nous les faut.
Lala, lala, lala !


Mais l'incendie là-bas fait rage
Et le ciel est noir de fumée.
Et tous les gens dans les étages
S'écrient : "Mais que font les pompiers ? "
Il n'y a plus de temps à perdre sinon tout le quartier va brûler.
Oui mais voilà, pendant c'temps-là dans la caserne on entend les pompiers crier Ohé ohé ohé !

Le lendemain, on l'imagine,
Tout le quartier avait brûlé.
Il ne restait plus que des ruines
Sur des centaines de mètres carrés.
Quand tout à coup dans le jour blême, on vit accourir un pompier :
« Je viens d’la part du capitaine et tout va bien il n'y a pas à s'inquiéter » Ohé ohé ohé !

On a r'trouvé les tuyaux, les tuyaux, les tuyaux
On a r'trouvé la grande échelle
On a r'trouvé les tuyaux, les tuyaux, les tuyaux
Oui mais voilà, on n’a plus d'eau.
Lala, lala, lala !


Variante :

Pendant ce temps-là, la Bernadette
Tout doucement m’fait un pompier.
Je lui éjacule dans la tête,
Elle a les dents toutes collées.
Comme il m'en reste dans les roupettes, je lui dis de recommencer.
Oui mais voilà, la Bernadette c'est pas tout ça il va falloir continuer
Ohé ohé ohé !

Elle m'a pompé le tuyau, le tuyau, le tuyau
Elle m'a pompé les roupettes.
Elle m'a pompé le tuyau, le tuyau, le tuyau
J'ai déchargé comme un taureau.
Lala, lala, lala !

Version anglaise :

During the night the Bernadette
Slowly made me a fireman
I put my juice into her face
She had her teeth very colled
She beat me my choubachou, choubachou
She destroyed it into my zip
She beat me my choubachou, choubachou
And I shouted like a bastard.