égalité 1-1

Sur le match face à une bonne équipe de Courbevoie, agressive dans le bon sens du terme, on ne va pas y passer trop longtemps. L'égalité au score n'est pas scandaleuse et côté VDQS, une nouvelle fois présentant un effectif digne d'une armée mexicaine, on a vu de belles choses.

Notamment sur l'essai marqué par Pascal "Pince à sucre" Revert, après une passe sur un pas de Christophe Corlay. Les VDQS croisés le lendemain en parlaient avec des trémolos dans la voix. C'est dire.

Mais il n'y a pas eu que des moments aussi charmants que celui-là. Par exemple, quand Daniel Amand s'est emporté sur un adversaire. Les privations liées à son régime alimentaire commenceraient-elles à lui peser ? On va surveiller ça de près.

Venons-en à la partie qui compte le plus lors de chaque rendez-vous VDQS : l'après match. Une belle chambrée, y compris des adversaires de Courbevoie. On a commencé la phase de réhydratation en suivant à la télé un nouvel épisode des déceptions auvergnates. Ah il est loin le temps de Gergovie...

Comment ne pas vanter la réactivité de Gilles Blanc. Apprenant le nom du récipiendaire de notre Fez, il veut lui rendre les honneurs. Il modifie rapidement son menu. Il se débarrasse des nouilles à l'eau prévues et nous apporte sur la table un coq Covin.

C'est en effet notre petit ailier qui va connaître son heure de gloire. Il a été intronisé "Grand Mamamouchi" jusqu'au prochain match, avec comme obligation de porter le Fez de jour comme de nuit. Il doit cet honneur à un retour à l'intérieur inopportun, alors qu'un boulevard s'ouvrait à lui pour aller marquer un essai.

Il y a eu des tas de chansons, des deux côtés, même si c'est dur de rivaliser avec les VDQS dans ce domaine-là. PYM et Christian en grande forme, Pierre et son "Father", l'incontournable "Little Huguette", "Jean-Françouais" et "Le grand vicaire" mené par Serge Sixou, lui rappelant sans doute les bons souvenirs de ses études de séminariste...

Quelques "amis" constataient qu'Eric Lebreton, de retour vendredi après une longue absence, n'avait rien perdu de son rugby. Ils étaient ravis de voir qu'il évoluait toujours au même niveau...

A la recherche de matchs supplémentaires, Christian se vit alors proposé par notre célèbre Toulousain une rencontre face aux arbitres Franciliens. Ce n'est pas tant la valeur rugbystique de ces derniers qui fît tiquer notre bon Président, mais le fait de se retrouver avec quinze Alain Tiret sur le terrain !

En attendant de se retrouver avec plaisir, bonne semaine à tous.

PS : Bruno Covin aurait été aperçu ce week-end sans le Fez sur la tête. Décidemment, tout se perd...