Cette chanson de gestes puise ses origines dans le folklore étudiant belge (véridique). C'est l'histoire d'amour entre une jeune fille et un cheval... euh, pardon, un jeune garçon plutôt bien équipé !

Ils étaient amoureux,
Ils s'aimaient tous les deux,
Ils étaient heureux.
Chaque soir, chaque matin,
Ils allaient au turbin,
Le coeur plein d'entrain.
A l'atelier, ses copines lui disaient :
« Pourquoi tu l'aimes tant ton Dudule ?
Il est pas beau,
Il est mal fait ! »
Mais elle gentiment répondait :
« Z'en faites pas, les amies,
Moi c'que j'aime en lui... »

Refrain:
Qu'est-ce que c'est ?
« C'est la grosse bite à Dudule,
J'la prends, j'la suce, elle m'encule.
Ah les amies, faut dire que c'est bon,
Quand il m'la carre dans l'oignon !
C'est pas une bite ordinaire,
Quand il m'la fout dans l'derrière,
J'me sens soudain toute remplie,
Du cul jusqu'au nombril,
Par Dudu-u-le. »

Ca devait arriver,
Ils se sont mariés,
Ils ont convolé.
D'abord ça tourna rond,
Lui caressa l'menton,
Lui flanqua des gnons.
A l'atelier, ses copines lui disaient :
« Pourquoi tu l'tues pas ton Dudule ?
Il t'a battue,
Il t'a cirée ! »
Mais elle gentiment répondait :
« Z'en faites pas, les amies,
Moi c'que j'aime en lui... »