Comme il est dit chez les Rita Mitsuko : "... Les histoires d'amour finissent mal, en général..."

Tu m'demandes tes lettres, ta photographie,
Ton éponge à cul, ton bidet d'métal.
Je m'en fous pas mal, ingrate Sophie,
Et j'te renvoie l'tout par colis postal.

Refrain :
Sophie, toi que j'aimais tant,
J't'emmerde, j't'emmerde.
Sophie, toi que j'aimais tant.
J't'emmerde à présent.

Tu peux faire la peau, un métier d'grenouille,
Et me remplacer par d'autres amants.
Mais, vois-tu, j'm'en fous comme d'la peau d'mes couilles
Car tu pues du bec et t'as l'con trop grand.

Je t'ai rencontré un soir dans la rue,
Où tu dégueulais tripes et boyaux.
Ah ! Si j'avais su qu'tu n'étais qu'une grue,
J't'aurais balancée par l'trou des gog'nots.

Et le lendemain, t'avais tes affaires.
Le sang inondait la chambre à coucher.
N'a-t'il pas fallu, pour te satisfaire,
Que j'te liche le con pour le mieux sécher ?

En ai-je bouffé de tes pertes blanches !
Mais quand j'ai voulu tirer un bon coup,
Tu ne gigotais pas plus qu'une planche
Et je m'esquintais sans rien faire du tout.

Et puis tu avais des passions honteuses.
J'en rougis encore rien que d'y penser.
Et pour apaiser ta chair luxueuse,
A tous tes caprices m'a fallu céder.

N'a-t'il pas fallu que ma langue se perde
Dans les plis profonds de ton trou du cul ?
Je l'ai retirée toute pleine de merde
J'en ai dégueulé, tu n'en as rien su.

Adieu pour toujours, va, tu me dégoûtes.
De toi, je me fous, je sais me branler.
Je ferai gicler mon sperme goutte à goutte
Plutôt que d'revenir te caramboler.

Oui, c'est bien fini, je te l'dis, sans glose,
N'ayant plus d'putain, je n'serai plus cocu.
Et si, par hasard, je te fous quelqu'chose,
Ce n'sera jamais qu'un coup d'pied dans l'cul