Une des chansons favorites des VDQS. Une véritable ode aux parfums charnels. Attention, ici il n'est pas question de N°5 ou de fragances rares, mais plutôt d'odeurs intimes, très intimes...

Je n'ai rien contre les odeurs,
Mais je prétends qu'une odeur pure
Est préférable à toute odeur, sniff, sniff, sniff,
Sans rapport avec la nature.
Est préférable à toute odeur,
Sans rapport avec la nature.

Un fromage qui sentirait bon,
Ce s'rait pas un fromage honnête.
Un con, ça doit sentir le con, sniff, sniff, sniff,
Et pas sentir la violette.
Un con, ça doit sentir le con,
Et pas sentir la violette.

Aussi suis-je bien convaincu,
Comme de la simple des choses,
Qu'un cul, ça doit sentir le cul, sniff, sniff, sniff,
Et pas sentir l'essence de rose.
Qu'un cul, ça doit sentir le cul,
Et pas sentir l'essence de rose.

Renifle moi donc le bout d'mon nœud.
Ca sent-y pas la belle charogne.
Un nœud, ça doit sentir le nœud, sniff, sniff, sniff,
Et pas sentir l'eau de Cologne.
Un nœud, ça doit sentir le nœud,
Et pas sentir l'eau de Cologne.

Je maudis toutes les putains
Parce qu'elles se mettent entre les cuisses
Un tas de trucs et de machins, sniff, sniff, sniff,
Des parfums qui gâtent la matrice.
Un tas de trucs et de machins,
Des parfums qui gâtent la matrice.

A ma femme j'disais l'autre matin,
« Quand auras-tu fini, vieille bête,
De te parfumer au Lubin, sniff, sniff, sniff,
De t'tremper l'cul dans la cuvette. »
De te parfumer au Lubin,
De t'tremper l'cul dans la cuvette. »

Parfois au comble de l'amour
Une femme suce la pine à son homme
Quand brusquement faisant d'mi tour, sniff, sniff, sniff,
Lui croque le cul comme une pomme
Quand brusquement faisant d'mi tour,
Lui croque le cul comme une pomme.

Ce sont là les plaisirs des Dieux,
Un puc'lage est fait pour se perdre,
Et pour s'gougnoter dans les yeux, sniff, sniff, sniff,
Il faut vraiment aimer la merde.
Et pour s'gougnoter dans les yeux,
Il faut vraiment aimer la merde.