Chanson à la gloire de la bandaison éternelle, voeux pieux s'il en est ! En Belgique, le héros de cette chanson est Saint-Nicolas, dans d'autres versions on trouve Napoléon, Bali-Balo, voire Mathusalem.

Refrain :
Zut, merde, pine et boxon,
Père Dupanloup est un cochon. (bis)

Père Dupanloup dans l'utérus, (bis)
Etait déjà si plein d'astuce. (bis)
Que dans le ventre de sa mère,
Il suçait la pine de son père.

Père Dupanloup dans son berceau, (bis)
Bandait déjà comme un taureau. (bis)
Pour satisfaire ses caprices,
Il enculait sa vieille nourrice.

Père Dupanloup à la cuisine, (bis)
Battait les oeufs avec sa pine. (bis)
Nom de Dieu, dit la cuisinière,
Fous-la moi donc dans le derrière.

Père Dupanloup à bicyclette, (bis)
Faisait pas beaucoup d'kilomètres, (bis)
Car sa longue pine qui traîne
Se prenait toujours dans la chaîne.

Père Dupanloup monte en ballon, (bis)
Mais il avait l'système si long, (bis)
Qu'à trois cents mètres dans l'atmosphère
Ses couilles traînaient encore par terre.

Père Dupanloup monte en bateau, (bis)
Mais il avait l'organe si beau, (bis)
Qu'il avait bien cent mille grenouilles
A lui sucer la peau des couilles.

Père Dupanloup à l'Odéon (bis)
N'arrêtait pas de prendre du rond. (bis)
On le voyait dans la coulisse,
Enculer le pompier d'service.


Père Dupanloup à l'Opéra (bis)
Bandait tellement qu'on l'expulsa. (bis)
Voulait-il pas de ses roupettes,
Boucher le trou des clarinettes.

Père Dupanloup l'quatorze juillet, (bis)
Alla s'promener à dos d'mulet. (bis)
Pour que la fête soit complète
Il encula la pauvre bête.

Père Dupanloup dans un wagon (bis)
Se conduisait comme un cochon. (bis)
Passant sa bite par la portière,
Il éborgna le garde-barrière.

Père Dupanloup dans un couvent (bis)
Avec sa queue s'lavait les dents. (bis)
Cochon, lui dit la soeur Alice,
Tu prends ton sperme comme dentifrice.

Père Dupanloup à l'Institut, (bis)
Ne voulait voir que des culs nus. (bis)
Pour respecter les bonnes manières,
Il enculait tous ses confrères.

Père Dupanloup chez Citroën, (bis)
Qu'à ses usines sur l'quai d'Javel, (bis)
Lui dit : Ta tour est bien trop p'tite,
Fais donc ta réclame sur ma bite.

Père Dupanloup près de Luchon, (bis)
Avait les poils du cul si long, (bis)
Que du haut de Superbanière,
Il tirait le funiculaire.

Père Dupanloup a trois putains, (bis)
Il en baise une tous les matins, (bis)
Et les deux autres font des tartines
Avec le fromage de sa pine.

 


Au passage d'la Bérésina (bis)
Père Dupanloup qui était là (bis)
Mettant sa bite sur la rivière,
Fit passer l'armée toute entière.

Père Dupanloup à Zanzibar (bis)
Voulait montrer tout son bazar. (bis)
Mais empêché par une patrouille,
Ne put montrer qu'une de ses couilles.

A la prise de la Smalah, (bis)
Dupanloup était encore là. (bis)
On le chercha devant, derrière,
Il enculait les dromadaires.

A la bataille d'la Moskowa (bis)
C'est encore lui qui nous sauva. (bis)
Il n'eut qu'à montrer sa biroute,
Pour mettre les Russes en déroute.

Pendant la grève des tramways (bis)
Il montra bien ce qu'il était. (bis)
Pour aiguiller les grosses machines,
Il appuyait avec sa pine.

Père Dupanloup à l'Assemblée, (bis)
Pour épater nos députés, (bis)
Monta jusque sur la tribune
Pour exhiber la peau d'ses burnes.

Père Dupanloup quand il fut vieux, (bis)
Ne bandait plus qu'un jour sur deux. (bis)
Il se coupa les couilles de rage,
Pour s'en faire un sac de voyage.

Père Dupanloup dans son cercueil (bis)
Bandait encore comme un chevreuil. (bis)
Avec sa pine en arc de cercle
Il essayait de soulever le couvercle.

 
Père Dupanloup au Paradis (bis)
Voulut baiser Vierge Marie. (bis)
Cré nom de Dieu, dit l'Eternel,
Il prend mon ciel pour un bordel.